Présentation
Claire et Lucas ont suivi leur formation initiale au Collège Ostéopathique de Bordeaux, d’où ils sont tous deux sortis en 2017 avec le plus haut niveau de reconnaissance de diplôme en ostéopathie (RNCP1).
Leurs formations post-graduées les ont menés à se spécialiser en ostéopathie du sport (prévention des blessures, kinésio-taping, posturologie, accompagnement du sportif de haut niveau), mais également en ostéopathie appliquée à la gynécologie et à la périnatalité (pathologies de la femme, troubles de la fertilité, prise en charge des douleurs dans le cadre de la grossesse, prise en charge du nourrisson dès les premiers jours de vie). Vos ostéopathes ne substituent pas cependant à un avis médical ou à un suivi normalement assuré pas un gynécologue ou une sage-femme (l’établissement de diagnostics, les touchers internes et les poses de dispositifs contraceptifs intra-utérins ne faisant pas partie de leur champ d’attribution de compétences).
Prise en charge
L’ostéopathie est une approche thérapeutique qui, dans une compréhension globale du patient, consiste à prévenir, diagnostiquer et traiter manuellement des dysfonctions de la mobilité des tissus du corps humain susceptibles d’en altérer l’état de santé.
Le champ d’application de l’ostéopathie est large et s’étend à tout l’organisme. L’ostéopathe utilise une approche douce et globale basée sur la parfaite maîtrise de techniques viscérales, crâniennes, structurelles (musculo-squelettiques), mais aussi myotensives et tissulaires. Il conviendra à votre ostéopathe d’adapter son traitement en fonction du patient, tenant ainsi compte de son âge, de ses antécédents médicaux ou chirurgicaux, de son état émotionnel et de ses activités physiques et professionnelles.
La finalité du traitement ostéopathique sera alors de rétablir la santé qui se définit comme « un état de complet bien-être physique, mental et social, ne consistant pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ».
Si l’ostéopathie permet d’apporter un confort de vie certain, elle ne prétend cependant pas « guérir » les patients souffrant de maladies dégénératives, de pathologies d’origines tumorales ou infectieuses, ou encore atteints de maladies génétiques.